Mathilde et la Marquise

Mathilde et la Marquise.
(Récit du Troubadour)

 MATHILDE-web     La Marquise m’a reçu à nouveau. Dès le jour précédent, je préparais l’instrument. Qu’en pensez-vous ? Quel est l’instrument d’un troubadour ? Notamment la voix. Mais, vous savez, parfois, la chanson s’interprète du corps entier.

      La Marquise, capricieuse comme elle est, change de meublé pour ses entretiens avec moi, cette évocation me fait rougir, mais reste fidèle à l’agence de location. En fait, elle a déjà une solide réputation comme cliente distinguée.

      J’avais oublié les paroles de ma dernière chanson, écrites à la hâte dans le repos entre deux rapports, dont le détail, un chevalier n’a pas le droit de diffuser. Non plus un plébéien. Je suis revenu sur les lieux. Et c’est là que j’ai découvert Mathilde.    Je n’y suis pas entré. La porte était béante. Je n’ai pas pu m’empêcher de regarder.

      Mathilde est fille de chambre. Elle ne peut consacrer que trente minutes à chaque meublé. Mais parfois, cela arrive, le temps s’arrête. Par sa démarche, sa façon d’agir, sa curieuse chorégraphie, j’ai appris qu’elle était dévouée à la marquise. Elle reconnaissait les traces de sa présence récente. La Marquise, on l’a dit déjà est capricieuse ; elle signe ses séjours galants laissant un témoin ; toujours une bouteille de champagne vide, étiquette à fleurs.

     Mathilde l’a prise. Elle a versé les gouttes rémanentes dans un verre fin. Peu importe s’il se salit ; elle fera la vaisselle. Le verre à la main, elle entre dans la chambre à coucher.

     Là, le souvenir des corps demeure encore sculpté dans le creux du lit. Les draps encore tièdes. Elle passe sa main libre dessinant la silhouette qu’elle devine des corps qui se sont aimés pendant des heures. D’abord celui plus proche que je sais le mien ; je me sens frémir ; après l’autre que je sais de ma maîtresse. A-t-elle aussi deviné quel était lequel ? Oui, j’y crois. Elle flaire ; ses narines se dilatent.

      Après, se tournant, sa figure et son corps vêtu de sa blouse de travail se reflètent dans le miroir. Elle a encore le verre à la main. Avec celle qui est libre, elle commence à déboutonner son costume. Lentement ; un par un, les boutons se libèrent. La blouse s’ouvre. Apparaît une chair blanche, une culotte et un soutien-gorge roses à dentelles C’est une lingerie de marquise dans une tenue d’ouvrière. Elle se regarde dans le miroir, le lit défait derrière elle, le verre encore à la main et commence à se caresser doucement. Lorsque ses doigts glissent et atteignent une zone sensible, elle frémit à peine perceptible, comme le ronronnement d’une chatte.

     Mon dévouement à la Marquise, car je suis aussi un homme dévoué, m’empêche de continuer mon observation. Calmement, je reprends mon papier, griffonne un billet et livre un autre de banque : 50 euros. Pour Mathilde, dit mon billet. Pourvu qu’elle continue sa collection de lingerie.

      Le Troubadour

     Tel a été le récit que mon ami le Troubadour m’a remis, incluant la conformité pour sa publication.

     Manuel de Français

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LE DÉSHABILLÉ DE LA MARQUISE

Le Déshabillé de la Marquise.

 LA-MARQUISE-1           La marquise a reçu son troubadour. Pas chez elle, évidement, mais dans un meublé loué à l’occasion. Un meublé coquet et discret dans la vieille cité. Lui, il n’est pas de bonne famille, qu’en pensez-vous d’un troubadour, un plébéien. Mais ces dames là, vous connaissez, ont parfois ces caprices. C’est la fine d’amour, l’amour courtois, bref ; l’amour fou.

     Ils ont eu une dinette, en tête à tête, saupoudrée de conversation. Le Champagne a coulé dans des coupes en verre fin; les flûtes sont pour les snobs ; les petites bulles légères, aériennes, ascendantes, éphémères, picotaient le fruit du désir; de la convoitise.

     La table desservie, car notre marquise a horreur du désordre, sans ouvrir nulle porte, comme une nouvelle scène du même décor, un grand lit sans baldaquin les a accueillis. Ce qu’on appelle un lit bas, mais vous savez, pour un troubadour… Il avait beau être plébéien, il était un homme raffiné. Il délectait toutes ces charmes ; le sous-vêtement, la lingerie. Dévêtir dans le but de trouver la chair frissante, bien entendu, mais aussi la caresse textile des pièces chaudes qui commencent à s’humecter. L’humidité est le thermomètre de la passion, c’est son avis et sa joie. Notre jongleur-compositeur est généreux dans le sens que son éveil sexuel ne se produise qu’en éprouvant l’excitation de sa partenaire.

     Le plat, par conséquent est servi. L’odorat, le gout, le toucher, l’ouïe, la vue, les cinq vrais éléments. se mettent à servir l’amour. Pendant des heures, à maintes reprises lui, elle, jouent le meilleur de son répertoire ; de leur répertoire.

     La cantate, ainsi composée, ainsi vécue, ainsi travaillée, devient immense. Toutes les voix intérieures composent la grande chorale de la passion qui renvoi le bonheur, la jouissance, la fatigue heureuse…

     Le troubadour, se repose avec indolence dans un petit fauteuil tapissé en vert. La marquise revient sur scène, sa toilette à demi faite. Sa lingerie a donné le relai à son amant, et c’est elle, à nouveau, comme au début, qui caresse sa peau. Sans y accorder importance, elle remet son sous-vêtement qui glisse élégamment sur son corps récent aimé. Et c’est cette image fugace, fruit d’un instant, à la désinvolte, celle qu’il gardera au-delà des autres. Le déshabillé de la marquise.

      Manuel de Français

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MIL NOVECIENTOS VEINTIDOS.

MIL NOVECIENTOS VEINTIDOS.

LAS-PIEDRAS-SARRION-1922

            El abuelo, socarrón, desde su altura, mira con sorna la escena que a su alrededor se forma. No le importa. ¿Qué más da? Ha venido el señorito armado de uno de esos aparatos que capturan imágenes. Han salido todos de la casa. No ha habido tiempo para la ropa de los domingos. Quizás es domingo y la ropa es la misma; no hay otra. Sí, debe de ser domingo, sino, ¿cómo iban a estar todos ociosos bajo el sol del mediodía?

            Se cuenta que Andrés, el abuelo, sale de la masía al primer toque, media hora antes y con sus piernas largas, llega puntual a la misa. Los demás salieron otra media hora antes. Él los alcanza. Por eso no le impone el fotógrafo, quizás de su misma altura… O es que el sol, que cae vertical, ¿le fuerza a esa mueca que parece insolencia?

            Su mujer, bajica, a su diestra, le ha dado dos hijos, que aun buenos mozos, no tienen su porte.

            Joaquín deja caer sus largos brazos. Su mano izquierda yace hueca, ofrecida y Teresa, tímidamente, cuanto apenas se atreve a tomar.

            ¿Qué pensará ella del diabólico aparato que esgrime el fotógrafo? Se ha marcado bien la raya en el pelo y cruzado la toquilla sobre su pecho. Pero antes, ha tensado bien la faja de su hombre, quien girando sobre sí mismo, cual peonza, se ha enrollado en ella. Después, le ha peinado el flequillo bien mojadico sobre la frente. En un tira y afloja de la faja, hicieron lo necesario y les nació Consuelo que, cogida al brazo, espabilada mira la vergüenzica de su madre.

            Benito tiene sus dos manos ocupadas, lo que resulta una ventaja para el posado fotográfico. Con la rosquilla en su mano diestra intenta entretener a Ignacio, quien en su izquierda se ha quedado dormido.

            Andrés, sin pestañear, percibe la timidez de la rama de su derecha y el porte orgulloso de la de su izquierda. Al final de ésta, Aurora, su nuera, desafía con su mirada la cámara. La misma raya que su cuñada, con el pelo más aplastado, la toca dispuesta con más donaire y el mismo sayón. La pequeñica, Elena, con su largo ropón, oculta sus pies descalzos, mientras que su prima, Consuelo, que ya debe trotar y patinar, luce zapatitos, que quizás ella herede.

            Ha habido una gran guerra en Europa, de la que ellos, seguramente nada saben, pero el fotógrafo sí. Quizás, ello le ha permitido, conseguir la cámara fotográfica, alemana tal vez, a buen precio. Pero esto es mera fantasía, especulación sin fundamento de este escribidor de historias.

            Habrá llegado hecho un pincel con su traje, probablemente blanco y su sombrero canotier al más puro estilo Maurice Chevalier. Ellos no saben quién es Maurice Chevalier, tampoco el fotógrafo; todavía no. Luego sí, quizás viaje a Paris.

            Ninguno de ellos sabía que, tras la Gran Guerra, vendría otra, para gran vergüenza, la nuestra. El fotógrafo murió en un bando, no quiero saber cuál; todos los bandos son perversos, anulan la libertad del individuo. El niño de la foto, despertó del abrazo de su padre, creció, fue al frente… Pero no despertó de una bala que le alcanzó. Probablemente no era de ningún bando, tan sólo del que le tocó en mala suerte.

Fotografía:                               de Alberto Benso García..
Colección particular:                 Alberto Arnau Benso (nieto del anterior)
Compartida en Internet por:      Christiane Doménech Lahoz.

Manuel Salvador Redón.

POLEO DRÁCULA O TÉ TAMPAX.

POLEO-DRACULA-1POLEO DRÁCULA O TÉ TAMPAX.

Hoy tocaba ir al Ambulatorio de Godella. La cita era para las 10,06h. Había leído, tiempo atrás, un artículo en prensa titulado: Centenares (o miles) de valencianos dan plantón a su médico. Dicho de otra manera: piden cita y no acuden. No soy dado a tales excesos y puestos a bordar la conducta de ciudadano-usuario-paciente ejemplar, me presento a las 9.55h. ¡No es broma! Al poco, que no se me antojó tan poco, siempre la espera se hace larga, aparece la doctora, lista en mano. Nombra a tres esperantes. Ninguno de ellos era yo. Me digo para mis adentros: Con el tiempo que dedica a cada paciente, si parece que les haga un chequeo completo, puede llevar algo de retraso. No digo nada para mis afueras; espero.

Cuarenta y cinco minutos más tarde, es decir a las 10,45h, sale el último de los tres y de nuevo, lista en mano, la doctora nombra otro individuo. Tampoco soy yo. Le pregunto tímidamente: Disculpe, a M.S. ¿no lo tiene en la lista? La consulta y muy risueña, me responde: Sí, le he llamado y no estaba. Pero si estoy aquí desde hace una hora, me defiendo. No sé si me ha oído o no, el caso es que se mete en la consulta con su nuevo cliente.

Aprovecho para ir al aseo; hasta ahora no me había atrevido. Salgo del aseo. Como la monja María deambulo, pasillo arriba, pasillo abajo. En el ínterin me saluda una empleada; bata blanca sobre ropa de civil. Le respondo al saludo, sin saber muy bien quién es, aunque al rato comienzo a atar cabos.

Me atienden y salgo de la consulta. Quien esperara leer algún detalle sabroso de la misma, siento decepcionarle. Mas, ¿qué hace un buen español, ambientado en Valencia, cuando habiendo salido con un café con leche de casa le tienen una hora de plantón para luego despacharlo en pocos minutos? Nótese que aquí la medida del tiempo tiene otra consideración. Pues ir a almorzar al bar más cercano. El de enfrente; aquí no hay mucho que rascar.

Medio bocadillito de… ¿Y para beber? Un té negro. La camarera, muy profesional, lógicamente no dice nada, pero se le aprecia una chispa en la mirada. Me ofrece una mesa. No se moleste, me instalo en la barra. Voy al rincón de la prensa; lo he bautizado así porque hay dos periódicos; uno en manos de un parroquiano, el otro yace sobre el mostrador. Lo tomo y comienzo a leer la columna de Juanjo Millás. Siempre es interesante lo que cuenta. Me sirven el té. Bueno me sirven una taza sobre un platillo con agua caliente, una cucharilla, un azucarillo y un extraño artilugio. En un sobre. Lo desprecinto y aparece esto.

POLEO-DRACULA-2

—Señora, ¿esto se introduce todo, tal cual en la taza?

—Si señor, cuando lo tenga un rato, presione y lo estruja.

—Ah, muchas gracias.

Mi vecino de barra, es de los almorzadores tradicionales: cervecita, olivitas, bocadillito y deduzco que como colofón, café o carajillo. Me lanza tiernas miradas; al menos yo las interpreto así. Un servidor todavía no tiene conciencia del símil del artefacto. Cuando finalmente lo estrujo, lo saco y lo deposito sobre el platillo, el vecino mira el artilugio y de soslayo a mí; más de una vez; de vez en cuando.

Sólo en ese momento acude a mi mente la evocación del Poleo de Drácula, un chiste de adolescencia que hoy no sería posible relatar. Poleo Drácula o Té Tampax; los tiempos han cambiado.

El bocadillo estaba muy bueno.

El Morocho del Abasto.

FGV. PELÍCULAS QUE NOS DEFRAUDAN A TODOS.

1-CAMPAÑAFGV. PELÍCULAS QUE NOS DEFRAUDAN ATODOS.

 

No nos podrán tachar de maliciosos; el eslogan lo han creado ellos. Según la página oficial de FGV, empresa pública que a duras penas conserva algún vestigio de lo que fuera una empresa ferroviaria, salvo por el simple hecho de que se trata de trenes, su organigrama es el que sigue:

 4-ORGANIGRAMA

Y el escribidor se pregunta: De cuál de estos recuadros que van del azul casi ultramar al azul cuasi celeste, pasando por el verde ecologista salió el ideólogo de semejante… defínanlo como quieran. Ustedes dirán campaña. Despropósito, desatino o libelo, parecen más apropiados. Cada una de estas acepciones tiene su entrada en el diccionario de la R.A.E y en otros de prestigio, pero para ahorrar a los amables lectores su búsqueda, los sintetizaremos.

Despropósito: Dicho o hecho fuera de razón o de conveniencia.

 1-CAMPAÑA

Desatino: Falta de tino, tiento o acierto.

 2-CAMPAÑA

Libelo: Escrito en el que se denigra o infama a alguien o a algo.

 3-CAMPAÑA

Sería fácil, desde fuera, criticar a los creativos de la campaña, mas lo haremos con mucha suavidad pues no sabemos los condicionantes de su encargo. En cualquier caso, sí que se aprecia una disociación absoluta entre las imágenes, que justo es reconocerlo, podrían tener un cierto encanto retro y los mensajes. Es decir: la imagen va por un lado y el mensaje por otro. Podrían parecer temas distintos. El resultado es que no se percibe cuál es el fin que se pretende. No se entiende. Hasta que no se han visto varios diferentes y muchas veces no se percibe. Y cuando finalmente se percibe, defrauda, indigna.

Según publica la propia página oficial de FGV: Ferrocarrils de la Generalitat Valenciana (FGV) ha lanzado una campaña para recordar a los usuarios que deben acceder al metro o al tranvía con su correspondiente título de transporte. Con esta iniciativa se pretende concienciar a los viajeros de Metrovalencia y TRAM d’Alacant de la importancia que tiene no cometer fraude a la hora de utilizar el transporte público.

Y el eslogan es: «Puedes montarte pagando tu viaje o montarte películas que nos defraudan a todos”

Deducimos que para utilizar la palabra fraude y volcarla sobre los usuarios se habrá consultado con un comité de juristas, o quizás no. La acción individual de viajar sin pagar billete, se ajusta más bien el concepto de picaresca. Fraude sería por ejemplo, enmascarar los datos de un siniestro, acusando a quien, desgraciadamente, no se puede defender; ya no puede. ¿Les suena de algo?

En cuanto al eslogan, ¿qué quieren que les diga? Un libelo: escrito en el que se denigra a alguien o a algo. En este caso al conjunto de viajeros. Y lo que más duele y envilece es que tanto los usuarios por fuerza y los viajeros por grado, tenemos que sufrir los desafortunados carteles.

Esta disertación termina como empezó, no puede ser de otra manera:

FGV. PELÍCULAS QUE NOS DEFRAUDAN A TODOS.

El Viajero de grado.

 

SOBRE EL IV CONCURSO DE MICRORRELATOS DE GODELLA.

SOBRE EL IV CONCURSO DE MICRORRELATOS DE GODELLA.

 

IV-CONCURSO MICRORRELATOS GODELLA-2018Como cada año, este es el cuarto, se ha convocado el Concurso de Microrrelatos de Godella. Cada año también, se van modificando ligeramente las bases y la fórmula de participación. Esta evolución formal ha convertido lo que en principio fue un concurso bienintencionado, algo naif, si me permiten, pero también entrañable, en una mera diligencia administrativa, como expondré a continuación. Añadiré, antes de la exposición, que el autor de estas líneas ha participado en las cuatro ediciones, con desigual fortuna, veremos ésta, aunque ello no es lo que motiva esta disertación.

La cuantía del premio en metálico ha subido ligeramente hasta los 350 Euros para los ganadores: uno en lengua vernácula, otro en castellano. ¡Bien! Eso está bien. Ahora bien, sigo diciendo bien, aunque ello me parezca mal: hay que enviar al Exmoaito, vocablo travieso que sintetiza, Excelentísimo Ayuntamiento, una solicitud de participación. ¡Caramba! À quoi bon?, se pregunta el afrancesado que llevo dentro. ¿Es una primera barrera para discriminar el número de participantes? El caso es que si se quiere participar hay que cumplir el trámite. ¡Pues quiero participar!. Hay dos fórmulas: vía telemática o presencial dando registro de entrada. Antes de desarrollarlas, aclaramos que el trámite tiene por fin, dotar al postulante de un número de registro para adjuntarlo cuando envíe por correo electrógeno, otra palabra de nuestro acervo, el relato micro a la Biblioteca de Godella, lo adjunte, como condición necesaria y excluyente para ser aceptado en la contienda.

La primera intención fue la de enviarlo vía telemática, cómodamente desde casa, teniendo en cuenta que la noche no tiene fronteras y que cualquier hora es buena. Cualquier hora es buena, pero metidos en harina, tras bucear en la página del Exmoaito, el ciudadano que se cree anónimo, se encuentra con el dique que le impide el paso; hace falta entrar con un certificado digital. El escribidor al que Hacienda denomina sujeto pasivo, para cartearse con ella tiene un certificado digital emitido por la Fábrica de Moneda y Timbre, ahí es nada. En la creencia de que lo emitido por la instancia mayor, ¿qué hay por encima de Hacienda?, rige para las menores, se encuentra con que el dique es muy ancho e impenetrable; no sirve. Hay que obtener un Certificado de Ciudadano… ¿? El mismo escribidor siempre aspiró a ser un hombre, no así un ciudadano, designación fatal e impuesta, que como la Gracia de Dios, dicen, se concede sin merecerla. Pues bien, la condición de anónimo era la única que le aliviaba de tal designación… Pues no, para cartearse con la Administración hay que ser un Ciudadano acreditado con Certificado de Ciudadano. No dispuesto a dejar de degustar las mieles del anonimato, decide abandonar esa vía. ¿Haremos una solicitud presencial!

FUEGO-IVCada cual cuenta la mili según le fue. El escribidor cuenta la suya. Se persona en las oficinas municipales a una hora ni intempestiva, ni tardía: las 9.45h. Penetra en la sala de atención. Cuatro mesas; sólo dos ocupadas por funcionarios. Uno de ellos, mesa 2 atiende a un ciudadano ¿anónimo? La otra, pues es una señora, no tiene a nadie delante. Ésta es la mía —piensa el hombre. Buenos días, vengo para un registro de entrada. Muy bien, caballero —responde la funcionaria, hay que coger número; fuera en la maquinita. Ah vale.

El hombre penetra de nuevo. Ya van dos penetraciones. ¿Pero que hace toda esta gente, sentada, que me mira? ¿Serán testigos para una boda? Pronto se percata de su error, viendo la cara paciente de los ciudadanos anónimos. Están esperando su turno. Hay un panel electrónico de debería de indicar el orden y la mesa a la que acudir, pero se ha averiado quedándose anclado en un número anterior. El hombre toma asiento y saluda tímidamente a los más próximos. Estos hacen un conato de respuesta. Cuando el recién llegado toma asiento, deja de tener interés para los pacientes: ya es uno de los nuestros. Sin embargo, el escribidor detecta a su vecino, sombrerito sobre la rodilla, libro en la mano. ¡Es el hombre de Alcázar de San Juan! Le hace una observación sobre el libro que transporta: A este jovencito autor le auguro un brillante porvenir literario. Sí es Pio Baroja. Pues eso.

La funcionaria interrumpe tan edificante conversación. Se aproxima y pregunta: ¿qué es lo suyo? —mientras curiosea la hoja que el hombre aún porta en la mano. Para el concurso de microrrelatos, señora. Ah, muy bien, pero tiene que esperar; sólo mi compañero hace los registros de entrada. Gracias señora.

Entra un muchacho y ocupa una tercera mesa; la más alejada de los pacientes. ¡Muy pulcro! Los otros dos funcionarios tienen hojas, expedientes… Éste nada; acaso unos clips. Los monitores quedan muy bajos, parce ser y cada cual consigue la altura deseado como puede. La señora con un dossier grueso, el hombre-registro de entrada con un paquete de folios y el pulcro con dos. En su caso, el del pulcro, emerge un tronco con ropa deportiva y cabeza de pantalla de ordenador. Les ruego no lo tomen literal, es la percepción que tiene el escribidor, pero ya saben, siempre fabulando historias.

etiqueta-sillaLe toca el turno al hombre de Alcázar de San Juan. Ya he perdido dos metros —razona el escribidor de historias. Su mirada vaga por la dependencia y se detiene en la mesa vacua. ¿Será ocupada alguna vez? Y en su caso, ¿su ocupante se pondrá a hacer registros de entrada? Su mirada vuelve a deambular y vuelve la mesa vacua y a la silla huérfana de posaderas que la caliente. Súbitamente su esperanza muere: bajo la mesa, se observa el lateral de la silla con ruedecillas y otra cosa; la etiqueta colgada. ¡Nunca llegará el cuarto ocupante!

El panel que organiza el turno vuelve a funcionar, con tanto celo que quiere recuperar el tiempo perdido: número 008, mesa 2; número 009, mesa 2. La dama, número 8 y el escribidor, número 9, se miran. ¿Es el comienzo de una gran amistad? No, porque ya se dirige ella a ser atendida. El hombre espera; la ve partir hacia el hombre-registro de entrada. Mantiene la mirada, como en un largo adiós. Ya he perdido otro metro y ya van tres.

Por fin su turno ha llegado; se cruza con la dama número 8, pero ella ya no tiene ojos para él. El H-RE (abreviatura para no repetir hombre-registro de  entrada), le da un tímido recibimiento. Vaya, es tímido —razona el cliente. Lo lleva observando desde hace tres metros, aplicado, trabajador, educado que hasta siente una ligera empatía hacia él. Luego tendrá que enviar el relato por e-mail a la Biblioteca —explica el hombre. Por un momento, el escribidor, concentrado en el trámite y sus circunstancias, había olvidado el fin último de la operación: Presentar a concurso un relato micro. Gracias H-RE. Ya siente tanta afinidad hacia él que desearía conocer su nombre para no seguir refiriéndose a él con semejante acrónimo. El trámite ha concluido, pero como la espera ha sido tan larga, 3 metros, decide sacarle mayor rendimiento. Las buenas maneras del H-RE, le han ganado. ¡Quiero dejar de ser un Ciudadano anónimo! Llamenlo síndrome de Stockholm o como quieran, pero así habló: ¿Cómo puedo obtener un Certificado de Ciudadano? Ah, le damos de alta, le imprimo un contrato, lo firmamos y le proporciono una clave. Después, usted deberá… No continuaremos con la explicación, íntegra, pero entre las curiosidades, por llamarlo de alguna manera, en el impreso modelo para solicitar la participación en el concurso: número de una cuenta bancaria por si resultara ganador. ¡Vaya! Como Hacienda.

El escribidor, tras pasar una buena parte de la mañana en la dependencia municipal, sale al airecillo de la calle, con la frente marchita, cuando de súbito oye el dulce sonido de su nombre a sus espaldas. ¡Caramba! qué efecto tan rápido; ya no soy un ciudadano anónimo. Se gira y reconoce al funcionario H-RE, raudo hacia él. Fulano de tal, este es un ardid para no desvelar el nombre del Ciudadano que ha salido del anonimato, se deja el contrato de… Muchas gracias —espeta el ciudadano reconocido— me siento sobrecogido; es la primera vez que me persigue un funcionario sin fines aviesos; muchas gracias. El H-RE esgrime una mueca; quiere ser cortés, pero se nota que la ocurrencia no le ha hecho gracia; es un hombre serio.

El escribidor de camino al cuarto metro, que éste sí que lo tomará tiene el sentimiento de haber acudido a pedir una pequeña subvención, del tipo para libros escolares, pongamos por caso, con la única diferencia de que en este caso no se primarán razones de residencia, renta, familia numerosa, más bien, esa es su esperanza postrera, cuestiones, como en un premio fallero; el ingenio y la gracia. ¡Qué así sea!

El Morocho del Abasto

EN TORNO AL PADRE TOSCA, EL CAPELLà DE LES RALLETES Y A SUS CALLES; LAS DEL PADRE TOSCA

          EN TORNO AL PADRE TOSCA, EL CAPELLà DE LES RALLETES Y A SUS                CALLES; LAS DEL PADRE TOSCA.

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       Tomás Vicente Tosca, más conocido como el Padre Tosca, nació a mediados del siglo XVII en la actual calle de Serranos de Valencia, cuya casa, con todas las transformaciones que se le suponen al paso del tiempo, existe en la actualidad. En su fachada figuran dos números de policía: el 27 y el 29. Fue clérigo oratoriano, no sabemos si por verdadera fe, por tener acceso al conocimiento, por disponer de un medio de ganarse la vida, o por las tres a la vez, pues todas suman y ninguna es incompatible con las otras. Su aportación máxima a la Valencia de su tiempo y aun a las generaciones futuras, fue su plano Valentia Edetanorum, vulgo del Cid; el plano de la ciudad de Valencia de 1704, que se creyó, durante siglos, el primero de Valencia, 0-VALENCA-DE-MANCELI-WEBhasta que apareció, como siempre se cuentan estas cosas, en algún cajón, otro de casi 100 años más de antigüedad,el plano de Antonio Mancelli, 1608.

A la izquierda, el referido plano de Mancelli.

     

     

        1. El Plano.

     El ángulo recto es esquivo. Prácticamente no existe en la naturaleza en estado salvaje o primitivo, al menos eso creo. Pero se le busca y existe una fijación con él. En no pocos planos de situación, con fines comerciales, para ubicar un determinado establecimiento, se dibuja una cuadrícula de calles idealizada de un callejero irreal.

      Imaginen una ciudad así trazada, al modo del ensanche barcelonés, lo fácil que sería, incluso con los rudimentos de la época, para un iniciado, hacer el levantamiento de planos de una ciudad. Pero claro, una ciudad así ha sido previamente planificada y delineada, antes de construida.

       Una ciudad de fundación romana, con siglos de permanencia musulmana después, reconquistada para la cristiandad y amurallada, es una superposición de sensibilidades y un caos absoluto, hablando en términos geométricos.

       Veo un hombre de edad provecta, pues un quincuagenario, en la época, así lo sería, rascando de sus sandalias las suelas, cada vez más finas, por las callejas de su ciudad, Valencia, con una vareta en la mano. Una y otra vez, avanzando y retrocediendo, volviendo al punto de partida; esbozar, croquizar, dibujar… Ésta sería, a buen seguro, la Vara Valenciana, equivalente a 3 pies geométricos valencianos, equivalente a 4 palmos también valencianos y a 0,906m. Siempre causan inquietud los hombres que andan midiendo por las calles, fachadas, más si es la propia; esto no ha cambiado. Primero inquietud, después curiosidad. Eso durante tres años. Seguramente, la túnica sagrada, el ropón de frailón arrugado y manchado por las genuflexiones propias de la actividad de toma de datos que, el medidor se ve obligado a ejecutar, en aquellas calles de “agua va”, le franquearía puertas. No se escaparía, podemos aventurar, a la consideración de chifladura su empeño.

        Hemos asumido al principio de esta disertación, el sambenito, malnom, en lengua vernácula de El Capellà de les Ralletes, pero bien pudiera haber sido El Capellà de la Vareta, otra de las versiones que circula. Cuando evocamos un gran hombre de ciencia o de arte del pasado, tendemos a imaginarlo como un esfuerzo unipersonal, sin pensar que una gran gesta precisa de colaboradores, cuyo buen oficio, y el resultado obtenido, son las muestras que han quedado para la posteridad, sin embargo, es el nombre del gran hombre, del director de equipo el único que se conoce. En el caso del Padre Tosca, sin embargo, sí que veo un trabajo unipersonal. Pudo tener colaboradores, para ayudarle a medir, pero el plano manuscrito, a falta de un examen profundo, tiene una sola mano: la del delineante Tosca.

VALENTIA-EDETANORUM-1704-1-1.WEB

      El plano original manuscrito del Padre Tosca se conserva, recientemente restaurado (1999), en una sala del Museo Histórico Municipal del Ayuntamiento de Valencia, tras un cristal, que entendemos de seguridad y con una luz muriente, de conservación, que dificulta un examen minucioso y hace imposible fotografiarlo adecuadamente debido a los reflejos sobre el cristal. Tiene unas dimensiones generosas 285 x 210 cm. (b x h). Su escala gráfica está expresada en dos reglas:  una en palmos valencianos de 0 a 1000 y otra en pies geométricos valencianos de 0 a 750.

         Contemplarlo emociona al estudioso y aún emocionaría más si se pudiera hacer con luz adecuada. Se observa toda la trama urbana contenida dentro de la muralla de la época y aún las huertas, jardines y edificios religiosos próximos extramuros. Los edificios que pueblan las manzanas, están dibujados con una cierta perspectiva caballera, licencia made in Padre Tosca, pues supedita la ortodoxia de la perspectiva a la trama viaria, para que esta se vea limpia, como en una proyección ortogonal. No es un mero relleno de edificios estandarizados, antes bien; están dibujados con el suficiente detalle, para ser identificados, desde las moradas humildes hasta los edificios principales. Aun así, se trata de un plano eminentemente técnico con un trazo muy fino, incluso tenue, que no persigue más efecto estético que la corrección. Está coloreado con tonos apagados algo deslavazados.

   VALENTIA-EDETANORUM-1704-1-2-WEB      El grabador virtuoso Joseph Fortea, aragonés, realizó 4 planchas para el grabado del dibujo de Tosca, que en su conjunto dan la dimensión de 1,40 x 0,92m. (b x h).  Por lo tanto, mucho menor en tamaño que el original, lo que nos lleva a la inquietante pregunta de: ¿cómo consiguió hacer esa reducción de escala? El adjetivo virtuoso no lo acordamos por la primera impresión que nos sacude, sino tras un examen comparativo. Habitualmente, los grabados tendían a la simplificación, más aun en casos de un dibujo tan complejo y lleno de matices como el que nos ocupa. Aquí no existe simplificación alguna, antes al contrario, se incrementa el detalle, se consigue un trazo más rotundo, con las líneas más contrastadas… Diríamos que es el plano de Tosca enriquecido. En el grabado figura la fecha de 1705, pero algunos autores, entre ellos el doctor arquitecto don Francisco Taberner Pastor, lo datan mucho más tarde en 1738. El argumento se fundamenta, entre otras consideraciones, en la nómina de edificios reseñados por Fortea, 105, frente a los 101 del original de Tosca. Es un plano más adecuado para el estudio, que mantiene el rigor en lo geométrico, pero que hace concesiones a lo estético para conseguir una bella lámina. Prueba de ello, son las dos cartelas barrocas en la parte izquierda del plano que eclipsan las originales de Tosca. Acoger tan fervientemente el plano del grabador no nos aparta de lo principal: sigue siendo un Tosca; el Tosca de Fortea.

     Conviene aclarar, para evitar equívocos, que el plano de Tosca que más comúnmente se conoce y el que ha tenido mayor difusión en reproducciones y documentos digitales, es el del grabado de Fortea.

        La figura de Tomás Vicente Tosca, entendemos que no ha sido suficientemente valorada ni reivindicada. Sin embargo, ha sido objeto de no pocas reseñas y algunas publicaciones. Entre los escritos que su figura y obra ha suscitado, aparte de clérigo, se le ha considerado: matemático eminente, arquitecto, filósofo, teólogo, entre otras cosas.

       Sin embargo, en su aportación máxima a la ciudad de Valencia, sus dotes más evidentes de delineante minucioso y preciso, nunca han sido destacadas. Esta aseveración merece una aclaración añadida. En muchos escritos se recoge la realidad de que su plano de la ciudad de Valencia es un plano delineado. Conviene recordar que entre las profesiones y dedicaciones a él atribuidas y que, alguna vinculación pudieran tener con la confección del famoso plano, a saber: matemático, arquitecto, ingeniero… ninguna de ellas tiene sustantivo y verbo con la misma raíz, sin embargo, el delineante delinea.

       Por todo ello, reforzado por su valor semántico, nuestro estudio quiere servir como germen para una reivindicación que a quién corresponda, se sienta motivado y legitimado para ello, podría quizás admitir a trámite: la consideración del padre Porta, sin renunciar a otras atribuciones, delineante. Tomás Vicente Tosca, delineante, en el año de 1704 terminó de delinear su plano, Valentia Edetanorum, vulgo del Cid.

       2. Las Calles del Padre Tosca.

       Prueba de la escasa consideración general en que se tenía al Padre Tosca, es que, durante años, desde 1875 hasta principios de este tercer milenio, la calle a él dedicada fue apenas una calleja o callizo en el antiguo barrio de Moret, que debía su nombre a que fue arrancado de la antigua Huerta de Moret. De aquella huerta, naturalmente no queda nada y la calleja en cuestión se hallaba en el lado par de la Gran Vía Fernando el Católico entre las calles Espinosa y Maestro Palau. Cuando se urbanizó la zona de Fernando el Católico y se edificó la manzana descrita, la calle en cuestión fue, por una parte, cortada por la Gran Vía y por el otro extremo cortada, convirtiéndose en un cul de sac, impasse o atzucac, en lengua valenciana, las tres son buenas para referirse a un callejón sin salida.LAS-CALLES-DEL-PADRE-TOSCA-1_1-ANTIGUA-CALLE-TOSCA-WEB

Así siguió algunos años, hasta que se construyó un nuevo edificio, tapando y anulándolo.ANTIGUA-TOSCA-WEB

Esta evolución urbanística fue la que empujó al Padre Tosca de aquel espacio impropio, fuera de la ciudad amurallada que, con tanto mimo delineó para sus conciudadanos y para la eternidad.

La imagen de la derecha muestra el edificio que tapó definitivamente la antigua calle del Padre Tosca.

         Sobre el año 2002, según Luis Fernández, conductor del programa Callejeando de Radio Valencia y cito textualmente: “se hizo patente el clamor de eruditos y estudiosos de nuestra historia que llevaban reclamando para tamaño personaje una calle más digna”. Así Viriato, el de “Roma no paga a los traidores” fue desplazado de su calle, para ser ocupada por el Padre Tosca, lo cual tiene sentido, pues, aunque estrecha, va desde la calle Serranos, justo en la esquina de su casa natalicia, hasta la calle Palomino.

LAS-CALLES-DEL-PADRE-TOSCA-1_2-ACTUAL-CALLE-TOSCA-WEB

  Sobre estas líneas hemos hecho la travesura de grafíar  el nombre de la actual Calle del Padre Tosca sobre su propio plano en versión del grabado de Fortea.

CASA-TOSCA-WEB

El erudito, volvía a sus orígenes, donde, curiosamente, nos referimos en la fachada de su casa natalicia, le esperaba una placa desde 1875, que recordaba el lugar de su nacimiento.

CALLE-TOSCA-VIRIATO-1-WEB

CALLE-TOSCA-VIRIATO-2-TRASERA-WEB

PLACA-TOSCA-WEB

A la derecha de estas líneas, la bicicleta del autor de este artículo, apoyada en la fachada de la casa natalicia del delineante Tosca.

A la izquierda  de estas líneas,, se abre paso la calle rotulada en la actualidad del Pare Tosca, que bordea su casa natalicia, en la esquina con la calle de Serranos. Hasta hace pocos años, era la calle de Viriato.

A la derecha, la trasera de la casa natalicia del Padre Tosca, en la calle que ahora lleva su nombre.

Abajo, la placa que certifica el nacimiento del erudito valenciano en dicha casa. 

En la placa, se le destaca como matemático insigne. Nos parece de justicia y de buen tino que, en algún lugar se destacara su condición de delineante minucioso y preciso.

         Manuel Geómetra.

        Manuel Salvador Redón.

En el siguiente enlace, encontrará un monográfico sobre el Plano de Valencia del Padre Tosca:

http://blog.msal-delinea.com/valentia-edetanorum-vulgo-del-cid-delineata-a-dre-thoma-vincentio-tosca-el-capella-de-les-ralletes-estudio-geometrico-sobre-el-plano-del-padre-tosca-por-manuel-salvador-redon-delineante-geometra/

Agujeros Negros. (Continuación del Gran Vacío).

             Agujeros Negros. (Continuación del Gran Vacío).

   ROTO-1         Continuamos con el asunto de los bancos de las estaciones de Metrovalencia, en particular la de Ángel Guimerá. El tema ha tenido cierto eco, leído por algo más de 200 personas que, en mi caso, para ser bajito y de Teruel, no está nada mal.

Lo hemos titulado Agujeros Negros, continuación del Gran Vacío, pero para los que no gustan de la metáfora y prefieren llamar al pan, pan y al vino, vino, les dedico este tercer titular: Los No Bancos,

(Continúa pinchando aquí)

 

El gran vacio, le grand vide, el gran buit, o grande vazio.

El gran vacio, le grand vide, el gran buit, o grande vazio.

    EL-GRAN-VACIO        No es ocioso el título que encabeza este escrito, ni es presunción exponerlo en esas cuatro lenguas queridas, practicadas y muchas veces leídas en los bancos de la estación de Ángel Guimerá. Ah, qué tiempos aquellos los de una juventud no tan lejana; os evoco no por la juventud cuasi perdida, sino porque había bancos donde sentarse a la espera de los convoyes.

            Alguien dirá: pero caballero, quedan bancos. Veamos, en mi familia, hace veinticinco años éramos 8 primos de veinticinco años cada uno. Nos llamaban los ocho jóvenes. Lamentablemente 4 murieron en acto de servicio. Hoy en día a nadie se le ocurriría decir: Quedáis 4 jóvenes. Pues eso.

            El metro de Valencia es un servicio moderno y pese a las críticas no es ni el más caro ni el peor de España. A mí me gusta y a muchos nos gusta. Más que el resto de los de España. Pero eso no es mérito de los gestores. Sencillamente es más nuevo y más ligero; es más fácil, pues Valencia, aunque muchos de los recién llegados se empeñen, no es todavía una ciudad caótica.

            Para muchos, los que nos movemos de los pueblos a la ciudad y tornamos por la noche con nuestra derrota, también con nuestros pequeños triunfos, el metro es más que un transporte. Forma parte de nuestro estilo de vida. Nos permite a los de los pueblos de l’Horta, prácticamente el agro moderno, pasar en pocas estaciones y escasos minutos de lo rural a lo urbano. En el transporte urbano, los pasajeros somos, permítaseme la comparación como los simios en el zoo. Cada uno busca su rueda. Si hay ruedas para todos, los simios sonríen, están tranquilos, divertidos. Si no, es la guerra por la rueda.

            Del mismo modo. En aquellos tiempos en que había bancos sólidos, de diseño funcional, bien ideados, sin patas para poder barrer por debajo, económicos, pues el respaldo era la propia pared, cada pasajero tenía su sitio. Los que no podían o no querían sentarse, tenían sitio junto a la pared, de preferencia en los intervalos en los que no hay carteles. La rueda del simio, para el pasajero en bipedestación es apoyar la espalda contra la pared. Del mismo modo que dentro del convoy es barra donde asirse.

            No habiendo bancos, no hay pared suficiente para acoger las espaldas de los pacientes usuarios y no hay nada más triste que un andén repleto de penitentes fatigados ocupando todo el ancho dificultando la circulación de nuevos viajeros. Las piernas, debido a la bipedestación exenta, tienden al calambre. Las bolsas, equipaje de mano, no se pueden apoyar en el suelo más que entorpeciendo al resto. Se forma el caos, peligra la civilización…

            Sólo los adictos al whatsapp, que somos la mayoría, pueden manejar estas maquinitas merced a la pericia con una mano por las muchas horas de práctica. Tienen, tenemos ese consuelo.

           Pero, el gran servicio que ofrecían las estaciones de metro a la cultura era inmenso. Cada una de ellas se convertía por minutos dentro de la biografía de cada viajero-lector en bibliotecas improvisadas y bien iluminadas. Cuando nos podíamos sentar o aún apoyar espalda y maletín contra la pared, emergían libros, apuntes; algún autor como el que suscribe se permitía amenizar la espera corrigiendo pruebas, escribiendo el arranque de algún capítulo o el artículo que publicar al día siguiente.

           Llegaron las fallas de 2018. Los bancos supervivientes, que era como decir los primos supervivientes de mi familia, fueron retirados. No sabíamos por qué. Pero algunos bien pensantes que, señores gestores del ferrocarril, también los hay entre los viajeros, pensaron: ya está, por fin van a renovar los bancos. Las suscripciones a las revistas se dispararon, los autores vendíamos libros; la locura…

         Pasaron las fallas, llegó la pascua, que como saben este año venía muy próxima y por fin, aunque tristemente, recolocaron los viejos bancos supervivientes que ya no admitían una correcta reinstalación: se convirtieron en tablas inclinadas donde los culos resbalaban y todos los de cada una nos mirábamos cual náufragos agarrados a una tabla de surf, esperando la ola fatal.

       Un banco, parece que fue retirado, otro precintado. Pero el culo del viajero tiene vocación sedente y hoy sobre cinco o seis parejas de glúteos habían violado el precinto y sobre él se sentaban, desafiantes y orgullosos de haber conquistado la última tabla.

        Señores gestores, es un clamor. Instalen bancos nuevos, en número igual a los que hubo en origen. No ofrezcan el triste espectáculo de las paredes con orificios de los tacos que sustentaban los viejos, con azulejos desportillados.

       ¿Cuándo podré de nuevo disfrutar de la lectura de Pérez Reverte, deleitarme con el Comisario Maigret, evocar el pasado con alguna Rondalla traviesa de Enric Valor o padecer los conflictos y turbaciones a los que me somete Saramago?

       Sin opción a la lectura ferroviaria, somos todos viajeros legos.

       El Viajero Errante

 

La Parra, encontre de cultures

La Parra, encontre de cultures

LAPARRA-web

Pareix ser que tots els veïns de tot arreu: d’Espanya, de Tabarnia, de la Catalunya Separatista…, estan, estem contaminats pel síndrome: Villatripas de Arriba, Villatripas de Abajo. I a l’Horta Nord, on el metro, antic trenet, es resisteix, gràcies a la crisi a fer-se soterrar, perquè es vocació seua ser aeri i recórrer i ser testimoni… De que les ratlles que separen els terminis son virtuals, administratives o de mala idea. Puix bé, eixa bel·ligerància antiga entre Burjassot i Godella, trobem que va diluint-se. Però als anys huitanta pareix ser que era més manifesta.

Tot allò dit, hi havia una zona franca, un lloc amable on el diàleg brotava espontani entre taules veïnes. Perquè malgrat la OMS, la ingesta en bona companyia de destil·lats diversos, macerats de maltes i fermentats del raïm, te efectes secundaris prou interessants; greixen la conversa

El lloc dit La Parra, evolució d’una alqueria de segles passats, és actualment i des de fa la tira, la primera casa del nucli urbà de Godella entrant des de l’horta pel Camí Vell de Godella. I des dels anys 80, bar-terrassa i ara, sense dubte, espai gastronòmic prou interessant tot l’any.

En aquells temps inicials i iniciàtics, el mestissatge urbà era possible i allò, en veritat sí que era un vertader encreuament de cultures. A banda de la gent del poble, perquè es important fidelitzar-les, era freqüentada pels moderns de Campo Olivar, alguns progres de Valencia i en el que ens interessa en este estudi, alguns aventurers de Burjassot. D’esta ciutat que un dia fou poble, acudien fonamentalment dos grups: Un, els intel·lectuals, gauche divine; desprès he aprés que alguns d’ells, son d’una certa dreta il·lustrada. Dos, un grup inclassificable, més poble, diríem més aspre.

Els productes estrela eren: la Voll Damm, cervesa de dia, copa de nit; el whisky Ballentines, també dit “Balencianes” i el cubata de Bacardi que invariablement havia de esser de cocacola, marca Coca Cola.

Aquesta elecció de marques, deduïm que més que una estricta opció de gustos, eren senyes de identitat; signes externs d’una certa pertinença a un grup determinat.

De aquelles trobades, perquè trobades foren, eixí algun matrimoni i amistats intermitents i fidels, més que per la freqüència, per la forta lligació que el temps no ha aconseguit desenllaçar.

Fruit d’aquella cohabitació en el passat i de fortuïts i nous encontres en el present, s’ha gestat l’esdeveniment literari que ara presentem. Un escriptor assimilat godellenc a més de valencià de Teruel, de la mà d’una associació cultural de Burjassot presentaran en comú el llibre del primer, Cuentos Arquitectónicos a la Casa de Cultura de Burjassot el proper dijous 26 d’abril de 2018 a les 19,30h..

AFICHE-C-A-CASA-CULTURA-BURJASSOT-2-WEB

Us esperem. Gent d’aquell temps i d’aquests; gent de les dues vores.

 

Joan Perfavor